Reconquête 56 ne cède pas devant les menaces de l’extrême gauche.

N'en déplaise à ces extrémistes qui mettent en cause le droit constitutionnel d’expression et de réunion, malmenant la démocratie, notre réunion aura eu lieu malgré leurs intimidations.

Vers 17h, une vingtaine d'hommes courageusement cagoulés ont commencé à se rassembler autour de la salle St Gilles d’Hennebont pour en découdre avec nos organisateurs.

Identité masquée mais drapeau CGT au poing ils ont lancé des projectiles sur les véhicules de nos militants et bloqué l’accès à la salle, y séquestrant un membre de notre bureau pendant trois heures.

À chaque fois, la violence vient du même côté : l’extrême gauche. Animés par la haine envers des concitoyens patriotes qui se réunissent pour débattre sur le déclassement de notre système de santé et sur les solutions possibles pour redresser la barre.

Reconquête n’a aucune haine à verser sur ces groupes gauchistes, mais un profond mépris pour ceux-là même qui ne savent pas utiliser le dialogue à la place des poings.

Ce fléau antidémocratique, qui fait obstruction au débat par la violence ne sévit pas seulement aux abords de nos réunions paisibles. Chacun a pu le déplorer, au triste spectacle qu'offre l’Assemblée Nationale qui prend désormais des airs de véritable ZAD.

Nous remercions Mme la Maire d’Hennebont qui a contacté la sous préfecture de Lorient pour protéger les 80 personnes attendues ce soir. Nous avions, de notre côté, prévenu la gendarmerie après avoir vu un appel à entraver notre réunion relayé sur les réseaux sociaux.

Les forces de police présentes n’ont réussi à nous faire entrer que vers 20h. Nos munitions, pour tenir le siège, n’étaient pas les insultes ni les projectiles comme l’autre camp, mais des tartes et des cakes faits maison que nous avons grignoté sur le trottoir à la bonne franquette.